C’est en 2015 que fut publiée dans la revue scientifique « New England Journal of medecine », une étude démontrant le statut cancérogène cinq à quinze fois plus important de l’aérosol des e-cigarettes que la fumée issue des cigarettes de tabac. Une nouvelle étude vient pourtant contredire ces faits !
L’importante croissance du marché des e-cigarettes durant l’année 2015 a donné naissance à de nombreuses études visant leur nocivité. Les chercheurs ont découvert rapidement la présence d’un composé cancérogène et toxique après la chauffe de l’aérosol des e-cigarettes : le formaldéhyde.
Mais aujourd’hui, et après avoir tenté de reproduire l’expérience ayant permis d’obtenir ces taux chocs, les chercheurs l’affirment : ces résultats sont irréalistes !
En quantifiant les « dry puffs », ces bouffées sèches insupportables dues aux conséquences d’une surchauffe et surtout synonymes d’une libération de formaldéhyde à différentes tensions (entre 3,3 volts et 5 volts), l’équipe de chercheurs grecs arrive avec un résultat beaucoup plus rationnel ! Le taux de formaldéhyde serait de 32 % inférieur à vingt cigarettes de tabac fumées !
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C’est surtout à partir de 4,2 V que les 88 % des participants ont commencé à ressentir l’effet des dry-puffs, définissant donc 4 V comme « la limite supérieure d’utilisation réaliste ». Et même à cette tension, le taux de formaldéhyde reste largement inférieur à celui présent dans la fumée de cigarette. Les 5 V n’étaient même pas atteignables, les dry-puffs étant alors insupportables pour les fumeurs.
Il en résulte donc que les conditions et les variables définies pour cette étude n’étaient pas du tout réalistes et ne pouvaient être reliées à la quantité réelle de formaldéhyde dégagée par un fumeur quotidien de cigarette électronique. Vous pouvez fumer en paix !
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