Depuis plusieurs années, des pilotes et des officiers de la marine américaine rapportent des rencontres avec des objets non identifiés, dont certaines observations dépassent l’espace aérien pour se prolonger sous la surface des océans. Ces objets, connus sous le nom d’OVNI sous-marins ou OSNI (Objets Submergés Non Identifiés), défient les lois de la physique et la technologie connue. Pour plusieurs officiers de la Marine, ces phénomènes ne sont plus de simples curiosités : ils constituent une menace potentielle pour la sécurité nationale et la sûreté maritime.
Des observations qui défient la technologie humaine
En 2014, Ryan Graves, pilote de F/A-18 et lieutenant de l’US Navy, repère au large de Virginia Beach des anomalies radar inquiétantes. Certains objets restent immobiles avant d’atteindre des vitesses supersoniques, évoluant sans ailes ni propulsion visible. Plus frappant encore, ces engins semblent capables de passer de l’air à la mer sans ralentir ni provoquer d’éclaboussures, défiant toutes les lois connues de l’aérodynamique et de l’hydrodynamique. Ces observations seront ensuite confirmées par des capteurs sophistiqués et se sont répétées presque quotidiennement.
Ce n’est pas un cas isolé. Des incidents similaires ont également été rapportés sur la côte ouest des États-Unis, autour des porte-avions USS Nimitz et USS Princeton. Les objets apparaissaient à des altitudes allant jusqu’à 24 000 mètres, plongeaient brusquement à la surface de l’océan, puis refaisaient surface quelques secondes plus tard. Certains pilotes décrivaient alors des engins en forme de Tic Tac, d’une longueur de 9 à 12 mètres, flottant dans l’air ou émergeant de l’eau sans aucune trace de gouvernes ni de moteurs.

Des rencontres transmédium : de l’air à l’eau sans effort
La caractéristique la plus frappante des OSNI réside dans leur capacité à évoluer simultanément dans l’air et sous l’eau. Un exemple marquant s’est produit en 2013 à Aguadilla, à Porto Rico : une caméra infrarouge des douanes a capté un petit objet sphérique qui survolait l’océan, passait au-dessus de l’aéroport, puis replongeait dans la mer sans provoquer la moindre éclaboussure ni perturbation de l’eau. Quelques secondes plus tard, l’objet refait surface, se divise en deux entités distinctes, puis s’immerge à nouveau. Ce comportement, qualifié de « transmédium », défie toute technologie connue et laisse penser à une maîtrise avancée de la propulsion dans différents milieux.
Les rapports militaires et scientifiques confirment que ces objets n’émettent aucune signature thermique ou radar identifiable et qu’aucun avion, missile ou drone connu ne pourrait accomplir de telles manœuvres. Leur vitesse, leur agilité et leur capacité à passer instantanément de l’air à l’eau remettent en question nos concepts actuels d’ingénierie et de physique. Ces observations légitiment l’hypothèse d’une origine non humaine, qu’elle soit extraterrestre ou technologique, et font désormais l’objet d’études sérieuses.

Les témoignages des officiers et la reconnaissance d’une menace
Pour Ryan Graves et le contre-amiral Tim Gallaudet, ancien océanographe et officier de la Marine, les preuves accumulées sont suffisantes pour considérer les OSNI comme une menace légitime. Gallaudet explique que ces objets présentent des capacités de vitesse, d’accélération et de manœuvre qui dépassent toute technologie humaine connue. « Ce n’est pas qu’ils enfreignent la loi », affirme-t-il. « C’est qu’ils démontrent des capacités d’ingénierie que nous n’avons pas encore développées. »
Les rencontres transmédium soulignent également des risques pour la sécurité maritime et aérienne. Un objet pouvant surgir brusquement à la surface de l’océan pourrait provoquer des collisions avec des navires ou des sous-marins. Les pilotes rapportent que ces phénomènes, parfois proches de 15 mètres, représentent un danger direct pour l’équipage. La multiplication des incidents à travers le monde suggère qu’il ne s’agit pas d’événements isolés, mais d’une tendance systématique.

Implications pour la sécurité nationale et la recherche scientifique
Les autorités américaines ont commencé à prendre ces phénomènes au sérieux. En 2023, le Congrès a adopté une loi obligeant les agences fédérales à collecter et divulguer toutes les données relatives aux objets non identifiés et aux technologies récupérées. Pour la première fois, cette législation reconnaît explicitement l’existence possible d’intelligence non humaine et ouvre la voie à des programmes de recherche sur des technologies avancées.
Les chercheurs militaires et civils s’efforcent désormais d’analyser les données radar, infrarouges et sonar afin de comprendre la propulsion et les comportements de ces OSNI. Les simulations et études de trajectoire montrent que certains objets submergés peuvent atteindre de très grandes vitesses sous l’eau, accélérer instantanément et effectuer des virages impossibles pour toute construction humaine connue. Ces observations défient les principes physiques traditionnels et suggèrent que la sécurité océanique doit intégrer une nouvelle dimension.
