TOP 50 des villes les plus vertes et visitées

26) Washington DC, États-Unis

27) Los Angeles, États-Unis

28) Tokyo Métropole, Japon

Tokyo
Crédits : Pexels

29) Dublin, Irlande

30) Oslo, Norvège

31) Nicosie, Chypre

32) Lisbonne, Portugal

Lisbonne
Cr̩dits : Skitterphoto РPixabay

33) Anvers, Belgique

34) Manchester, Royaume-Uni

35) Luxembourg, Luxembourg

36) Copenhague, Danemark

Copenhague
Cr̩dits : Lauren Friedman РFlickr

37) Londres, Royaume-Uni

38) San Francisco, États-Unis

39) Bruxelles, Belgique

40) Toronto, Canada

toronto
Crédits : Good Free Photos

41) Barcelone, Espagne

42) New York, États-Unis

43) Séoul, Corée du Sud

Seoul Korea Gwanak Mountain
Crédits : MaxPixel.net

44) Mexico, Mexique

45) Paris, France

Paris bénéficie du pourcentage le plus élevé de parcs : 21,70%.

46) Santiago, Chili

santiago
Cr̩dits : Free Photos РPixabay

47) Lyon, France

48) Athènes, Grèce

49) Istanbul, Turquie

istanbul
Cr̩dits : Falco РPixabay

50) Tokyo (ville), Japon

La métropole de Tokyo a été séparée de la ville de Tokyo. La ville de Tokyo ​détient le plus petit pourcentage d’espaces verts (5,97%).

Quel est l’intérêt d’un tel classement ?

A l’heure où l’on parle de réchauffement climatique, de pollution de l’air ou de la mer, de biodiversité en danger, voyager tout en ayant impact limité sur l’environnement devient une priorité pour ceux qui ont conscience des faits, scientifiques.

Aujourd’hui, dans la région Asie-Pacifique par exemple, près de 25% des espèces endémiques sont menacées et 80% des rivières les plus polluées par les déchets plastiques dans le monde se trouvent dans cette zone. Selon une étude menée pendant 3 ans et publiée en mars 2018 par la Plate-Forme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), « si les pratiques de pêche se poursuivent au même rythme, la région ne comptera plus de stocks de poissons exploitables d’ici à 2048″.

En Europe et en Asie centrale, la population d’animaux terrestres et de plantes a diminué de 42% au cours de la dernière décennie, ainsi que celle des poissons (71%) et des amphibiens (60%).

Avec son étude, TravelBird révèle les zones urbaines les plus agréables à vivre pour les résidents mais aussi les plus belles à visiter si l’on est un voyageur sensible à l’environnement. L’objectif est d’inciter les voyageurs à préserver la nature pendant leurs voyages et les villes à faire davantage d’efforts en terme de verdissement et de développement durable.